Vincent Mousseau
Doctorant et travailleur social professionnel
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Vincent Mousseau
Doctorant et travailleur social professionnel
Bienvenue! Je suis Vincent Mousseau (iel, accords masculins), un activiste noir, queer et trans, travailleur social et chercheur, engagé à rendre les services de santé et sociaux plus accessibles et équitables pour les communautés LGBTQ+ noires au Canada. Basé à Tiohtià:ke (Montréal, QC), j’exerce comme travailleur social professionnel, en m’appuyant sur des perspectives abolitionnistes, afro-pessimistes et anti-coloniales. Mon parcours, à la croisée de l’expérience personnelle et des liens communautaires, est ancré dans la volonté de redéfinir les modèles de soin et de repousser les frontières du possible.
En tant que boursier Vanier et candidat au doctorat en santé à l’Université Dalhousie, je me concentre sur les barrières systémiques qui affectent les hommes noirs gais, bi, trans et queer, les autres hommes noirs ayant des relations sexuelles avec des hommes, ainsi que les personnes non binaires au centre de la masculinité. Mes recherches posent des questions critiques sur l’accès de nos communautés aux services et sur la possibilité de mener des vies épanouies et authentiques, malgré des structures oppressives. Inspiré par des approches de recherche afrocentristes et anti-coloniales, mon approche est étroitement liée à notre résilience collective et à la lutte pour l’équité en santé dans des espaces marginalisés.
Ce site est une plateforme centrale pour mes activités académiques, mon activisme et ma pratique en travail social. Vous y trouverez des informations sur mon parcours, mes projets actuels et la vision qui guide mon travail. Bien que cet espace continue d’évoluer, je vous invite dès maintenant à explorer et à découvrir la passion, l’expérience et les recherches qui m’animent.
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Je reconnais que je vis et travaille sur le territoire non cédé de Tiohtià:ke/Mooniyang, également appelé Montréal dans le cadre colonial, un lieu de rencontre pour de nombreuses nations autochtones, y compris les Kanien’kehá:ka, reconnus comme les gardiens traditionnels de ces terres.
En tant qu’étudiant à l’Université Dalhousie, je reconnais également que l’université se situe sur les territoires non cédés des peuples Mi’kmaw, Wolastoqey et Peskotomuhkati, des nations souveraines dotées de droits inhérents en tant que premiers protecteurs de ces terres. Les traités de paix et d’amitié, toujours en vigueur, nous rappellent nos obligations collectives d’honorer ces accords. L’article 35 de la Loi constitutionnelle de 1982 reconnaît et affirme les droits ancestraux et issus de traités autochtones, et il est essentiel que nous assumions ces responsabilités par des actions concrètes, et non seulement par des mots.
Je rends également hommage à la présence des Afro-Néo-Écossais, un peuple distinct dont l’histoire et les contributions ont façonné Mi’kma’ki depuis plus de 400 ans. La résilience des communautés afro-néo-écossaises, ancrées dans plus de 52 communautés territoriales, témoigne d’une survie et d’une résistance continue face à l’anti-noirceur. Je m’engage à renforcer la solidarité et à bâtir des partenariats significatifs avec ces communautés.
Je demeure profondément engagé à apprendre, désapprendre et travailler en solidarité avec les communautés autochtones et noires à travers l’Île de la Tortue, pour résister aux violences coloniales persistantes. Je réaffirme ma solidarité inébranlable avec la résistance continue des communautés autochtones contre la colonisation et m’engage à honorer les responsabilités qui accompagnent le fait de vivre sur ces terres.
En tant qu’étudiant à l’Université Dalhousie, je reconnais également que l’université se situe sur les territoires non cédés des peuples Mi’kmaw, Wolastoqey et Peskotomuhkati, des nations souveraines dotées de droits inhérents en tant que premiers protecteurs de ces terres. Les traités de paix et d’amitié, toujours en vigueur, nous rappellent nos obligations collectives d’honorer ces accords. L’article 35 de la Loi constitutionnelle de 1982 reconnaît et affirme les droits ancestraux et issus de traités autochtones, et il est essentiel que nous assumions ces responsabilités par des actions concrètes, et non seulement par des mots.
Je rends également hommage à la présence des Afro-Néo-Écossais, un peuple distinct dont l’histoire et les contributions ont façonné Mi’kma’ki depuis plus de 400 ans. La résilience des communautés afro-néo-écossaises, ancrées dans plus de 52 communautés territoriales, témoigne d’une survie et d’une résistance continue face à l’anti-noirceur. Je m’engage à renforcer la solidarité et à bâtir des partenariats significatifs avec ces communautés.
Je demeure profondément engagé à apprendre, désapprendre et travailler en solidarité avec les communautés autochtones et noires à travers l’Île de la Tortue, pour résister aux violences coloniales persistantes. Je réaffirme ma solidarité inébranlable avec la résistance continue des communautés autochtones contre la colonisation et m’engage à honorer les responsabilités qui accompagnent le fait de vivre sur ces terres.